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 Eyal Barenboim

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Eyal Barenboim
pensionnaire niveau 1
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Eyal Barenboim


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Date d'inscription : 14/10/2007

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MessageSujet: Eyal Barenboim   Eyal Barenboim Iconminitimeredre9Dim 14 Oct - 12:39

Nom: Barenboim (prononcer Ba reinne boïme ^^)

Prénom: Eyal

Âge: 23 ans

État de naissance : New-York

Caractère : Depuis sa rendre jeunesse, le jeune Ey Al toujours été.. Hm, une série d’adjectifs saura, j’en suis sûr, vous faire comprendre son caractère: arrogant, fier de lui, égoïste, narcissique, audacieux, ambitieux, hautain, impertinent, insolent, prêt à tout .. Et il le sait qu’il est comme ça, et il s’aime comme ça. Il n’est pas méchant, il n’a jamais été méchant par plaisir, la souffrance ne lui plaît pas. Bon ça fait vendre, certes. On va pas dire qu’il est gentil non plus. En fait il est franc et ne fait pas la différence entre un SDF et un sénateur, si les deux lui ont marché sur les pieds dans la rue, ils les engueulera de la même manière.


Physique : Assez grand mais pas plus que la moyenne et finement musclé, il compte sur sa carrure pour se faufiler partout, pour tout voir et tout entendre. Il a fait aussi des sports de combats quand il était ado et a continué, il n’est pas musclé a proprement parlé mais il se débrouille ! A la base il était châtains clairs ou brun, selon votre envie de chipoter, avec une chevelure assez consistante, joliment coupée chaque mois par un coiffeur grassement payé, mais pour le job qui l’a rendu célèbre, il s’est teint les cheveux en plus foncé, brun presque noirs.. Il a des yeux bleu gris et de jolis cils, mais n’a aucun trait féminin, enfin il aime bien le rappeler, dixit « je ne suis pas pédé ».


Ce pour quoi vous êtes ici: Dans le dossier il y a écrit « meurtre avec préméditation, délit de fuite, récidiviste », dans les faits il a surtout jamais fait quelque chose d’illégal, sauf pour son boulot mais rien de grave, à part quelques infractions au code de la route.
Il est donc journaliste et il est là pour le New-York Times pour lequel il bosse, il a vaguement entendu parler de cette prison, aux pratiques.. douteuses, et après avoir convaincu son père de faire un faux dossier sur lui, il a pu y entrer pour préparer « le sujet de sa carrière ». Shh, c’est un secret ..


Histoire :
« Georges Darling? Excuse moi de t’interrompre en pleine discussion avec madame Hilary Clinton -enchantée, je suis très heureuse de vous connaître- mais je crois que je suis en train de perdre les eaux . »
Finalement, voilà comment commence une vie dans la famille Barenboïm. Moi je suis Eyal, j’ai 23ans et je suis journaliste. Quoi? Comment ça s’est passé entre ce réveillon de l’année 1984 et ce jour même où j’entre dans le pénitencier qui sera la base du plus beau sujet de tous les temps? Soit, j’explique..
Mis à part le fait de passer leurs soirées à côtoyer le Grand Monde, mes parents ont une vie professionnelle. Sans déconner. Mon père est directeur du FBI dans l’état de New-York, et vous connaissez cet immeuble de briques rouges sur la 8ème avenue en face de Central Park? C’est le siège du cabinet d’avocat de ma mère, Barenboïm&associés. J’y suis pour rien, je vis dans la légalité.
Moi j’ai toujours bien étudié à l’école, avec les compliments des profs tout ça, normal, j’aime tout savoir pour pouvoir tout contrôler si j’en ai envie. Je suis fils unique alors on s’occupe de moi, me complimente pour les parents formidables que j’ai, mais que dalle, je commence très vite à me faire voir, à être là partout, tout le temps, à tout retenir, tout noter, et très vite je comprends ma vocation. Je m’en rappelle d’ailleurs de ce jour, c’était un 28 juin, j’étais dans le bureau de Stanley Walker, sa maîtresse à peine habillée venait de sortir de la pièce, encore éblouie par le flash de mon appareil photo, et tendant ma main pour réclamer une somme adéquat pour acheter mon silence, Stanley, le meilleur ami de mon père, me regarda et me dit « Tu iras loin petit ».
Il a pas tort, je bosse pour le New-York Times, j’ai carte blanche, mon « 007 permis de tuer » de journaliste, je fais les sujets les plus démesurés et les gens aiment ça. Darfour, Irak, Bush trouvé avec une prostituée mineure dans ses bras ou Birtney bourrée en train de vomir dans le caniveau, je suis là, je photographie, je note, j’immortalise, je fais vendre.
J’adore ma vie au fait, j’adore ça, le journalisme est ma seule raison de vivre. Et puis, j’ai beaucoup de contacts, dans la police, la politique, les médias, grâce à ma mère également mais surtout, grâce à mon père. Vive le FBI, god bless America.
Point de vue sentimental y’a bien cette fille, Ashley, fille de Stanley et Karen Walker, avec qui je suis censé de marier. J’y penserai, elle est jolie et pas trop bête, on la pardonne facilement, c’est toujours ça de fait.
Mais si on devait m’oublier, m’enfoncer dans le néant du néant parmi le communs des morts qu’on oublie à la seconde même où leur dernier souffle s’est mélangé dans l’air, je me battrai pour qu’on se rappelle d’une histoire, l’affaire des têtes brûlées.

C’était au mois de Décembre 2005, nous brunchions mon boss et moi à little Italy, pas trop loin d’une pâtisserie qui faisait les meilleurs macarons qui soient. Will -mon patron- venait d’écraser sa cigarette contre le cendrier alors que la serveuse déposait devant nos yeux plongés dans son décolleté le 4ème café de la matinée. « Eyal, j’aime ton culot, et je te déteste aussi pour ça. Tout le monde t’adore et tout le monde te déteste parce que tout le monde t’adore. T’es un p’tit con tu le sais ça? Tu te rends compte du merdier dans lequel tu mets ton entourage? J’aime ça, oui oui j’aime ça. Tu connais Donovan Skillman? Et bien tu vas bouger tes p’tites fesses de blondinet et aller foutre le merdier dans ses affaires. »
Je n’allais pas mentir je l’avais déjà vu 2-3 fois à la télé et sur quelques affiches arrachées en plein milieu du Bronx. Il ratissait large à l’époque, c’était presque touchant.
Ça ne servait à rien de faire des recherches sur lui, car tous les articles faisaient l’éloge de cet homme marié et père d’un charmant gamin qui posait fièrement à côté de lui pour Newsweek dans un sujet tel que « Pourquoi la famille est la meilleure chose au monde ». Oui certes pourquoi pas.
Le 1er janvier 2006, un gala pour la nouvelle année était organisé dans le nord de New York, dans une bâtisse immense qui accueillait aussi bien des personnalités du showbiz ou politique qu’une centaine de gens tirés au sort dans le commun des New-yorkais aux revenus plus que moyens. Mon Dieu, je n’avais jamais vu autant de garde du corps. La technique dans ces cas là c’est de ne pas se cacher, de faire comme si on est chez soi. Un gorille c’est sympa mais ça n’a rien dans le crâne. Une cigarette à la bouche, je m’étais tout simplement avancé vers les men in black pour dire « Pardon » en tapotant sur leurs épaules pour qu’il me laisse passer. J’étais pas super bien habillé mais j’avais l’air de savoir où j’allais, alors je suis passé. Donovan se tenait debout, dans un coin de la salle, entouré d’une équipe fidèle au poste qui riait avec plaisir à ses blagues, alors que lui semblait juste chercher quelque un du regard. Ne cherche pas Donovan, je suis là.
Ouvrant la boîte de macaron de la pâtisserie de little Italy, je lui demandais toujours ma clope à la bouche « Z’en voulez ? ». Pas de réaction. Juste ce regard profond et pénétrant et ce sourire qui lentement se dessine sur le visage de l’homme qui approche dangereusement de la trentaine. Là je m’en rappelle très bien, je n’oublierai jamais ce passage de ma vie, je me suis dis « Mais à quoi il pense ce connard? ». Et quand je ne sais pas quelque chose, je hais.
« Et ça veut dire quoi ce regard ? »
« Je réfléchis à ce que je ferai pour vous lorsque je serai président des Etats-Unis ».
Excellente réponse. C’était les premiers mots qu’il avait prononcé, 3 « je » et un « président des Etat-Unis » casés dans la même phrase, il est très fort.
« D’ici là vous aurez appris à me connaître et vous aurez compris que vous ne pouvez pas vous passer de moi. Je crois que je mérite un poste de secrétaire d’état. »
Malheureusement il n’a pas eu le temps de répondre, c’était l’heure de son discours avec Barbara Streisand. Il m’a de suite donné sa carte après avoir griffonné quelque chose derrière, ce quelque chose qui me marqua « J’y réfléchirais ». Le lendemain matin j’avais rendez-vous avec lui et j’étais pris en tant que second assistant. C’était un bon début, mais pas assez pour moi.
J’étais là, tout le temps, partout, je notais tout ce qu’il disait, du plus petit détail insignifiant à la plus grande phrase qu’on mortel puisse prononcer. Donovan adorait ça, nous partagions la même passion: lui. Même Narcisse aurait détourné les yeux de l’eau dans laquelle il se reflétait pour lui dire « Pff, nombriliste ». Très vite je suis devenu secrétaire, balayant tous les autres collaborateurs d’un revers de manche d’un costume Armani à 4 000$. Je devais toujours lui courir après pour obtenir des informations, même si j’étais son secrétaire. « Où vous allez? Vous revenez à quelle heure? C’était qui le chauve qui est venu vous voir à 14h ? » et j’en passe. C’est en insistant que je réussis à me faire inviter à une soirée organisée chez lui, avec une autre 20aine de personne qui savaient au moins pourquoi elles étaient là. C’est là que tout à vraiment changé. Mon premier test fut assez marquant: un flingue et un homme, fallait lui tirer dessus. J’ai essayé d’éviter ça je le jure mais il était là à quelques centimètres de moi, j’ai pris peur et j’ai tiré. Ce connard de Skillman m’avait piégé évidemment, je hais les balles en blanc. J’aurais préféré que ce soit des vraies, que Don sache de quoi je suis capable et qu’il me fasse confiance directement. Ce soir là on s’est retrouvé seuls et on a parlé, comme si on était des amis -c’te blague-, je lui ai dis que j’allais me fiancer, il m’a dit qu’il n’aimait pas sa femme, j’ai dit que je tenais mieux l’alcool que lui, on a pas suivit la milice qui partait en boîte, on est allé chez moi. Hey, je suis pas pédé d’accord?
A partir de là vous ne saurez rien. N’insistez pas, n’y a rien à savoir, et n’essayez même pas de vous renseigner auprès de mon entourage, ils n’en savent rien non plus. Alors allez vous faire foutre.

48h plus tard Donovan Miller Skillman faisait la une de tous les journaux, la milice que j'avais rencontré était un groupuscule qu'il avait créé pour intimider -ou éliminer- ses adversaires, assez pour le retirer de la campagne et pour le foutre en prison. J'étais considéré comme un héros, lui allait passer les 20 prochaines années dans sa vie dans une cellule de 4mètre carrés. God Bless America.


Particularités : Je dirai que *la* particularité d’Eyal c’est qu’il est prêt à faire n’importe quoi pour réussir. Et qu’il peut atteindre un orgasme si on touche à ses cheveux et à sa nuque.
The end !
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Roy Henss
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Roy Henss


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MessageSujet: Re: Eyal Barenboim   Eyal Barenboim Iconminitimeredre9Dim 14 Oct - 13:31

BIENVENUE , en effet si l un et l autre sont dans la meme cage meutre du journaliste ----> ca peut etre sympa.

Mr Barenboim , je pense bien que vous vous rendez compte que vous vous attaquez a gros tres gros ^^ .

Bonne chance

VALIDE
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Eyal Barenboim
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