Dean Michaël

Nom : Dean

Prénom: Michaël

Âge: 26

Etat de naissance : Un coin paumé en france.

Caractère :
Impossible à cerner. Michaël Dean est comme qui dirait inclassable, il peut rire en cassant la tête à quelqu’un ou lorsqu’il reçoit des coups. Les sentiments qu’il pourrait avoir sur le moment comme être en colère ou même triste semblent plus vrais que nature et pourtant, cela ne peut-être simplement faux. Personne ne le connait vraiment. Non personne ne le connait. Ses expressions, ses intentions peuvent changer d’un instant à l’autre et devenir complètement contradictoire. Il est observateur, méthodique parfois, arrogant, insolent, narquois, méchant, violent ; tout comme il peut être gentil ou tendre, souriant ou plaisantin. L’homme aux mille facettes ? Peut-être. Versatile ? Non, dans le fond il sait toujours ce qu’il veut, ce qu’il va faire. C’est les autres qui l’ignorent. Il aurait fait un parfait acteur s’il aurait voulu sauf que lui ne joue pas un jeu c’est sa nature et il en joue, oui beaucoup. Faire peur, faire rire il aime. Faire pleurer, réconforter il aime. La vie est faite pour s’amuser, il ne fait rien contre son gré. Quoiqu’il fasse c’est par intérêt personnel.

Physique :
Michaël est d’origine bâtarde d’où il doit son teint légèrement hâlé, ses traits de caractère, ses cheveux et ses yeux noirs. Cheveux qu’il porte suffisamment longs pour les rabattre en arrière. On dit souvent que les yeux sont les fenêtres de l’âme, ce n’est pas son cas ils sont inexpressifs même lorsqu’il semble rire. La joie ne montent pas jusqu’à eux. Il se tient toujours droit ce qui a tendance à fausser l’impression que les gens ont de lui en le prenant pour plus grand qu’il est.
De par le métier qu’il a pratiqué, il possède une forte musculature qu’il entretient c’est-on jamais et parce qu’il aime le sport. Comme distinction particulière Michaël porte au creux du coude droit une cicatrice qui l’encercle et d’autre plus petites moins visible sur l’ensemble de son corps, souvenir de son enfance.


votre poste: Gardien

Histoire :
Fils d’adultère, fils de tzigane. Sa mère enfreint les bonnes mœurs et trahi son mari en allant coucher avec un de ses hommes du voyage. Pas n’importe lequel ! Le chef du clan en personne ! Il est beau, il est fort, au lit c’est un dieu. Quand l’homme avec qui elle partage sa vie l’apprend, elle est enceinte de quatre mois. Alors qu’il n’est pas encore né, il est déjà haï traiter de tous les noms. Mais malgré les coups, le corps de la femme résiste il n’y aura pas de fausse-couche. Elle le met au monde au milieu de la nuit et c’est les sages-femmes qui empêchent l’homme en colère d’abattre l’enfant en l’emportant durant quelques jours.
Cependant le gamin est obligé de revenir chez sa mère, celle-ci tente de le protéger autant qu’elle peut oubliant parfois qu’elle a une fille de cinq ans l’aînée de Michaël. Cette indifférence c’est lui qui le paiera.

Il a cinq ans quand sa mère meurt, c’est un suicide disent les gens mais lui sait la vérité. Il a su très tôt d’où venait le mépris que lui porte son soi-disant père, il a su très tôt qu’il devait apprendre à se protéger au moins mentalement. Dix années s’écoulent… Dix années où le mot amour a eu le temps de disparaître jusque de sa mémoire….. A 15 ans, Il a sur les mains le sang de son « père », le sang de sa sœur.

Au tribunal Il pleure comme un enfant, clame qu’il les aimait et qu’il a tout fait pour se faire accepter. Ses nombreuses marques jouent en sa faveur même alors que l’on l’a trouvé souriant comme un démon sur le lieu de son crime. Il joue l’enfant battu, martyrisé et on le prend en pitié. Les institutions le suive, le gâte mais étrangement il ne reste guère longtemps dans ses familles d’accueil ; celles-ci disent toute la même chose : il les mets mal à l’aise, cet enfant n’a pas de sentiments disent-elles. C’est l’incompréhensible ! Michaël se comporte pourtant comme les autres adolescents, il rit, s’amuse avec ceux de son âge. Ils ne comprennent pas. Ils l’ont fait analyser par plusieurs psychologues depuis qu’il est entre leurs mains. Rien d’anormal.
Mettant de côté l’égoïsme de ses parents, ils encouragent son orientation pour les études policières. Oui Michaël veut être policier et à 16 ans il se fait émancipé, il a son bac à sa majorité grâce aux deux classes de primaire qu’il a sauté et ce malgré ses maltraitances. Enfant surdoué ? Peut-être. Quoiqu’il en ait, son but il a atteint lorsqu’il est promu lieutenant à l’âge de vingt-quatre ans.

Parce qu’il est le meilleur, son parcourt aurait pu être sans fautes, sans tâches … mais des doutes subsistent sur lui. Des témoins, des suspects disparaissent, meurent ou finissent à l’hôpital alors qu’ils passent par son service. Aucunes preuves tangibles et personne ne parlent. Pour une raison inexplicable, on a peur de lui… il fait froid dans le dos… Et les disparus augmentent….. Ne sachant plus quoi faire on le rétrograde pour une broutille, gardien de prison. En partant il laisse un affreux souvenir à son supérieur, une main coupée lui faisant un doigt d’honneur dans le tiroir de son bureau. Mais là encore aucune preuve ! Juste une phrase murmurée à l’oreille… « Il t’a plu mon cadeau ? »


Particularités : A pratiqué plusieurs art martiaux du a son métier.

Validé

Bah on est pas sorti de l auberge ^^.